Enfin trouvée... ! [Privé]

J’arrive sur l’ d’Entress cette île poussiéreuse, ma cape qui me recouvre me protége de l’ai ensablé, un burnous sur la tête, j’avance dans ce lieu brûlant, c’est un désert mais si actif, une caravane passe près de moi ce rendant sûrement en ville. Cette ville en hauteur, de la même couleur que le sable, mais qu’on ne peux cependant pas vraiment rater, à par pendant les tempêtes de sables ce qui est normal. D’après ce qui ce dit cette édifice en hauteur peut tout affronter… sauf peut être mon arriver…
Je vois au loin le lieu de ma rencontre avec elle, la ville d’Entress, j’avance a pas lent regardant autour de moi, ce lieu ne changeras jamais à ce que je vois, le vent à beau faire bouger en tout sens le sable, les dunes resterons encore et toujours les même. Tandis que le soleil se couche j’arrive enfin devant la porte me menant aux ascenseurs, je prends celui qui me mènera dans la partie de la ville qui m‘intéresse, celui-ci s’ouvre devant moi et se referme dans un boucan se répercutant contre les mur, comme muer d’une volonté propre. Je monte enfin dans l’ascenseur espérant que ma très chère invitée est venue… Vu que c’est important je pense qu’elle sera la… les porte se ferme et monte jusqu’à l’étage…

Je sors de l’élévateur et avance vers les portes qui me sépare de la ville, celle-ci s’ouvre… L’animation est a son comble, de la musique me parviens, dans les rue les personne les plus bizarre qu’on est vu, se mélange au gens ordinaire, ce lieu fermer que l’on pourrais croire sans lumière et illuminé par les néons des différents établissement, les hommes et le femmes de cette ville sont comme toujours aussi insouciant ce lieu n’a vraiment pas changer.

Je marche parmi la population, le plus drôle est que j’ai une aura des plus normal, si tout ses gens savaient qui était en ville… Je ris doucement et continue mon avancé, j’entre dans l’un des établissement des plus fréquenter, je connais le patron de ce lieu et il sait qui je suis, il m’a toujours réservé la meilleur chambre et la plus discrète… Je le salue comme toujours en entrant, je lui donne son argents, avec un pourboire supplémentaire… Je prends des nouvelles de sa famille, puis monte dans la chambre… J’avance au centre et enlèves les vêtements qui me protégeaient du sable et du soleil brûlant, à présent je t’attends…

Ma belle et si sensuelle sauvageonne, cela fais un moment que je ne t’ai pas vu, je suis sur le sol, tandis que tu es assise à califourchon sur moi, me menaçant d’une arme blanche, j’ai finalement eu tord de t’ignoré ma petite gazelle, quoique, cela en valait la chandelle. Je souris, je sais bien que tu n’aime pas que l’on t’ignore mais que veux tu ? C’est toujours plus drôle pour moi de te mettre en colère, surtout lorsque c’est ensuite à mon avantage.

"Et bien, et bien, ma chère Candice, je constate que tu vas bien... Que tu n'as rien perdu de ta fougue, ni de ton caractère...
Ce n'est pas bien de ne pas me donner de tes nouvelles..."

Rapidement, j'attrape ta main tenant à l'écarte de ma nuque, applique une pression sur ton poignet, afin que tu laisse tomber cette pointe d'acier... Ce n'est pas bien de me menacer et tu le sais voyons... maintenant j'ai du te faire mal... Je me tourne et me retrouve sur le dos, tandis que tu es encore à califourchon sur moi, je regarde ton visage, puis laisse mes yeux descendre doucement, regardant d'un air appréciateur ton magnifique corps...

"Toujours aussi jolie aussi... J'ai une jolie vue d'ici pour le constater."

J'attrape ton autre main et te fais alors basculer sur le sol, je suis à présent au dessus de toi, je maintiens tes bras par tes poignet au dessus de ta tête, tes longs cheveux blanc comme neige sont étalé sur le sol, tes yeux me lance des éclaires, tu es vraiment jolie comme ça. Mon visage n'est qu'à quelques centimètres du tiens. Un sourire qui se dois ironique et sadique à la fois sur les lèvres, je dépose un doux baisé au creux de ton cou... Je sais que tu détestes cela aussi... Et je m'amuse comme un petit fou... Je n'ai pas très envie d'arrêter ce petit jeu avec toi, mais j'ai certaine chose à te dire, le boulot avant tout n'est ce pas...

"On continue ce petit jeu ou bien... On parle de ta nouvelle mission ?"